SEO technique

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Le “technical SEO” ou SEO technique, est la première étape de tout travail d’optimisation pour les moteurs de recherche.

Il consiste essentiellement à optimiser l’infrastructure de votre site internet pour les robots des moteurs de recherche, comme Googlebot.

Cela couvre ainsi un large éventail d’actions incluant l’optimisation de la vitesse de chargement du site, l’assurance d’une navigation fluide et organisée (avec une architecture de site claire et des URL bien structurées), le dépannage des erreurs et des liens brisés, l’optimisation pour mobile et la sécurisation du site avec le protocole HTTPS.

Il s’agit aussi de fournir une bonne expérience utilisateur en rendant le site rapide, accessible et compréhensible.

L’optimisation des moteurs de recherche (SEO) ne se limite pas à l’intégration de mots-clés dans le contenu.

Le SEO technique, et plus spécifiquement la structure du site et l’architecture de l’URL, joue un rôle crucial non seulement pour les robots de recherche, mais aussi pour l’expérience utilisateur.

Mais alors, qu’entend-on par structure du site et architecture de l’URL et comment les optimiser pour le SEO ?

La structure d’un site Web correspond à la manière dont vos pages Web sont organisées et hiérarchisées.

Une structure de site claire et bien organisée facilite la navigation de vos utilisateurs sur votre site, mais aide également les robots des moteurs de recherche à comprendre rapidement le contenu de votre site et l’objectif de chaque page.

Pour optimiser la structure de votre site, voici quelques points à considérer :

• Une hiérarchie parfaite

Assurez-vous que votre site est organisé de manière logique. C’est à dire que les pages les plus importantes sont  accessibles en un clic et qu’il y a une hiérarchie qui découle de ces pages.

Cette hiérarchie devrait idéalement ressembler à une pyramide, avec la page d’accueil en tête et les pages plus spécifiques en bas (articles, produits, etc.).

Par exemple, pour le cas de growthfrance :

Growth France → Référencement naturel → SEO Technique (Premier niveau → deuxième niveau → troisième niveau)

Cette même page (“définition SEO” donne également accès à d’autres pages, comme le “ON-page SEO”, le “OFF-page SEO”, le “EEAT SEO” et le “Content SEO”, qui sont de même niveau que le “SEO technique” (comprendre : de même importance).

Raisonnons par l’absurde : il ne serait pas logique d’avoir, par exemple, la hiérarchie suivante :

Growth France → Référencement naturel →  SEO Technique → Définition SEO

Car dans ce cas précis, cela voudrait dire que la page d’accueil donne accès à la page SEO technique depuis la page du référencement naturel, qui est un des sujets importants du SEO (mais pas le seul) et que cette dernière ensuite donne accès à la page du guide, qui lui-même liste l’ensemble des 3 piliers du SEO.

• Une navigation simple
  

Le menu de navigation doit être épuré, simple à comprendre et à utiliser.

Ce dernier doit présenter les principales pages de votre site et conduire l’utilisateur à l’information recherchée, en un minimum de clics.

Il est courant d’utiliser la “règle des 3 clics” (au grand maximum) afin de permettre au visiteur de trouver l’information qu’il recherche.

• Une architecture URL à l’essentiel

Les URL doivent être courtes, descriptives et aller à l’essentiel. La meilleure technique SEO est donc de glisser son mot clef directement dans son URL.

En effet, cela permet de renseigner les utilisateurs sur le thème de la page, ce qui est également vrai pour les moteurs de recherche.

Par exemple, l’URL de cette page est très explicite, courte (deux mots), descriptive (cette page parle de SEO technique), ce qui est également le mot clef principal de cette page.

Grâce à cela, vous et les robots comprenez, avant même de cliquer que le thème de cette page est bien le “seo technique“.

Pour vous donner une idée, n’hésitez pas à regarder notre sitemap pour voir comment sont organisées nos autres pages.

Poursuivons avec un exemple, imaginons : www.mon-site.com/blog/fondamentaux-seo/

Permet de comprendre que le site “mon-site.com” possède un blog et que l’un des articles se nomme “fondamentaux-seo”.

Pour ainsi dire, nous comprenons, tout comme le robot que l’article parlera des fondamentaux du SEO.

Alors que : www.mon-site.com/cat-123/article-456

Ne donne aucune information et cela ne donne pas envie de cliquer sur le lien.

• Utiliser des tirets pour séparer les mots

Le séparateur le plus couramment utilisé est le tiret (-) car il est plus esthétique pour l’humain et mieux compris par les moteurs de recherche que le trait bas (_).

Pour reprendre l’exemple précédent,

www.mon-site.com/blog/fondamentaux-seo/

Est plus esthétique pour l’humain et compréhensible par les robots que

www.mon-site.com/blog/fondamentaux_seo/

C’est, pour ainsi dire, au fil des ans, devenu la norme.

Dans l’ère actuelle de l’Internet rapide, les utilisateurs s’attendent à un accès rapide et sans effort aux informations en ligne.

Si un site web prend du temps à se charger, les utilisateurs risquent de cliquer sur “retour” et de se rendre sur un autre site.

En plus de l’expérience utilisateur, la vitesse de chargement d’un site a également un impact significatif sur le classement SEO.

Pour vous donner une idée, vous pouvez utiliser cet outil proposé gratuitement par Google : PageSpeed Insights de Google.

Voici, par exemple, les résultats de notre page d’accueil à l’heure où nous écrivons :

Ce qui n’est pas trop mal du tout, surtout le score maximum de 100/100 sur le SEO ♥

Les mauvaises langues diront que ce n’est pas très difficile sur une page d’accueil car il y a peu de contenu.

Voyons voir la page de notre offre ayant pour objectif d’assurer le référencement de site internet.

Ce qui n’est pas mal du tout aussi ! Mais on l’optimisera plus tard, lorsque ce guide ultime sera rédigé et bien optimisé ☺

Un site plus rapide facilite la navigation, encourage les utilisateurs à explorer davantage de pages et augmente les chances de convertir les visiteurs en clients.

De plus, Google a officiellement déclaré que la vitesse de chargement est un facteur de classement pour le SEO.

Ainsi, les sites qui se chargent rapidement ont un meilleur classement dans les résultats de recherche, ce qui conduit à plus de visibilité et de trafic.

Alors, comment s’y prendre pour optimiser le temps de chargement de ses pages ?

Voici quelques-unes des méthodes à votre disposition :

1. Minimisez le HTML, CSS, JavaScript : Utilisez des outils en ligne pour minimiser le code de ces éléments, ce qui signifie essentiellement enlever les espaces inutiles, les sauts de ligne, les commentaires, etc.
2. Optimisez vos images : Les images lourdes peuvent considérablement ralentir votre site. Utilisez des outils d’optimisation d’image pour réduire la taille de vos fichiers sans sacrifier la qualité.
3. Utilisez le caching : Le caching stocke temporairement des données sur le navigateur de l’utilisateur, ce qui signifie que le site n’a pas besoin de charger l’intégralité de la page à chaque fois que l’utilisateur revient.
4. Utilisez un réseau de distribution de contenu (CDN) : Un CDN stocke votre site sur plusieurs serveurs situés autour du monde, permettant aux utilisateurs d’accéder au serveur le plus proche pour charger le site plus rapidement.
5. Limitez l’utilisation de plugins : Trop de plugins peuvent ralentir significativement votre site. Utilisez uniquement les plugins dont vous avez vraiment besoin et assurez-vous qu’ils sont bien maintenus.

Pour WordPress, nous vous conseillons d’utiliser W3 Total Cache car ce dernier est plutôt simple d’utilisation et permet d’agir sur la plupart de ces points dans sa version gratuite.

Utiliser des balises méta et l’optimisation du maillage internet fait partie des techniques fondamentales pour optimiser votre site internet auprès des moteurs de recherche.

En effet, ces éléments sont vitaux pour la visibilité de votre site sur les moteurs de recherche et le parcours de navigation de vos visiteurs.

Les balises méta sont utilisées afin de fournir aux moteurs de recherche des informations sur le contenu de vos pages web.

Ces dernières sont encodées en HTML et ne sont pas visibles par les utilisateurs. Cependant, les moteurs de recherche y prêtent une grande attention.

Pour notre offre de référencement de site internet voici nos balises méta :

Vous l’avez deviné, ces balisent se nomment “méta” car elles commencent toutes par “<meta”.

La balise Title et meta description

Parmi les plus importantes, en jaune, vous avez :

1. Balise Title : La balise Title est le titre de votre page qui apparait dans l’onglet du navigateur et dans les résultats de recherche. Elle doit être convaincante et contenir le mot clé principal de votre page.
2. Meta Description : Cette balise fournit une description concise du contenu de votre page. Elle apparait dans les résultats de recherche sous votre balise title et doit inciter l’utilisateur à cliquer sur votre lien.

Prenons pour exemple le Title et la meta description de la page dédiée à notre offre de gestion et le référencement de site internet sous WordPress :

Les balides Header (H1, H2, …, Hn)

Plus loin dans le code HTML de la page, vous retrouverez également les balises dites “header”.

• Balises Header (H1, H2, H3, …, Hn) : Ces balises font référence aux titres et sous-titres de votre contenu, et aident à structurer votre texte.

La balise H1 représente le titre principal de la page.

Cette dernière est particulièrement importante pour les moteurs de recherche et ne doit être utilisée qu’une seule fois par page.

Ensuite, il faut une hiérarchie entre les balises H2 à Hn, ce qui correspond aux chapitres et sous chapitres. Plus le chiffre est haut, plus la balise est importante dans le référencement.

Considérer que H2 > H3 > H4 > etc. jusqu’à Hn. Mais il n’est pas possible de tout mettre en balise H2, car tous les titres n’ont pas la même importance pour votre référencement.

Par exemple, vous pouvez avoir une hiérarchie comme :

H1 : la mécanique auto

___H2 : la maintenance

______H3 : la vidange

______H3 : le contrôle visuel

___H2 : l’entretien

______H3 : entretenir sa sellerie

______H3 : entretenir ses moquettes

Vous voyez l’architecture entre chapitres et sous-chapitres ?

Optimiser le maillage interne

Le maillage interne fait référence aux liens qui relient les pages de votre site entre elles. Un bon maillage interne peut aider les moteurs de recherche à comprendre la relation entre vos pages et à indexer plus efficacement votre site.

Voici quelques conseils :

1. Assurez-vous que chaque page importante de votre site est facilement accessible à partir d’au moins une autre page de votre site à travers un lien interne. Par exemple, notre page “référencement” est accessible depuis toutes les pages du site, soit via l’entête, soit dans le contenu des pages.
2. Utilisez un texte d’ancrage descriptif pour vos liens internes. Le texte d’ancrage, c’est le texte sur lequel les utilisateurs cliquent pour suivre un lien. Par exemple, juste le bouton juste ci-dessous.
3. Créez un plan de site / sommaire pour aider les moteurs de recherche et les utilisateurs à naviguer plus facilement sur votre site. Par exemple, faire un sommaire en tête de page, comme c’est le cas pour cette page ☺

En somme, l’utilisation de balises méta et l’optimisation du maillage interne sont deux méthodes essentielles pour améliorer votre référencement naturel.

Elles permettent d’assurer une bonne visibilité de votre site sur les moteurs de recherche, tout en facilitant la navigation pour vos utilisateurs.

La gestion des erreurs 404 et la redirection des pages sont deux aspects importants pour le bon fonctionnement et l’optimisation SEO technique d’un site web.

L’erreur 404 est un code d’état qui signifie que la page que l’utilisateur tente d’accéder n’existe pas sur le serveur.

Cela peut se produire pour plusieurs raisons, comme la suppression d’une page qui existait auparavant, une URL mal orthographiée ou un lien brisé.

La gestion des erreurs 404 est importante car cela améliore l’expérience utilisateur en évitant aux visiteurs de se retrouver face à une impasse et cela évite que votre site soit pénalisé par Google pour avoir trop de liens brisés (il déteste ça).

Voici comment gérer efficacement les erreurs 404 :

1. Vérifiez régulièrement les erreurs 404 : Utilisez des outils comme Google Search Console pour identifier les liens brisés sur votre site.
2. Créez une page 404 personnalisée : Instituez une page 404 conviviale qui guide les visiteurs vers d’autres parties de votre site peut aider à maintenir l’engagement de l’utilisateur.
3. Correction des liens brisés : Lorsque vous repérez un lien brisé, assurez-vous de le corriger ou de le rediriger vers une page pertinente.

La redirection est une méthode utilisée pour faire pointer automatiquement une URL vers une autre. Il existe différentes méthodes de redirection, la plus courante étant la redirection 301, qui indique qu’une page a été déplacée de manière permanente vers une nouvelle URL.

L’importance de la redirection des pages est double.

1. Elle permet de préserver la valeur des liens d’une page lorsque son URL change.
2. Elle garantit une transition transparente pour les utilisateurs lorsqu’ils tentent d’accéder à une page dont l’URL a changé.

Pour rediriger votre page, vous pouvez utiliser des plugins si vous utilisez un CMS, ou modifier le fichier .htaccess si vous utilisez Apache.

De notre côté, nous apprécions le plugin Redirection : télécharger le plugin Redirection pour WordPress.

En un mot, gérer les erreurs 404 et utiliser à bon escient les redirections sont deux éléments essentiels pour maintenir un site web optimisé pour le SEO, tout en étant appréciable pour les visiteurs.

Trois fichiers sont extrêmement importants pour tout site internet.

Il s’agit des fichiers : robot.txt, sitemap.xml et .htaccess.

Le fichier robot.txt

Le fichier robots.txt est peut-être le plus simple des trois.

Il fonctionne comme un guide pour les robots des moteurs de recherche, en leur indiquant quelles parties de votre site ces derniers peuvent explorer et indexer et lesquelles ils doivent ignorer.

Le robots.txt est comme un portier virtuel qui contrôle le trafic de robots sur votre site.

Placez ce fichier à la racine de votre site, typiquement “www.votresite.com/robots.txt”.

Vous pouvez y spécifier les parties de votre site que vous préférez garder privées, ou les pages spécifiques que vous ne souhaitez pas voir apparaître dans les résultats de recherche.

Par exemple, sur WordPress, le fichier est automatiquement créé et vous pouvez lui donner une consigne (voir ci-dessous). Allez dans Réglage → Lecture → et c’est en bas de la page.

Faites attention à la formulation “demander (…) de NE PAS indexer ce site”. Il ne faut donc pas cliquer sur cette case, à moins que vous ne souhaitez effectivement pas que votre site soit exploré et indexé.

Le fichier sitemap.xml

Comme son nom l’indique, le “sitemap” est une carte de votre site. Ce dernier permet de fournir aux moteurs de recherche une “carte” claire de la structure de votre site, les aidant ainsi à indexer correctement vos pages.

Ce document est très apprécié par les robots des moteurs de recherche car ces derniers peuvent très rapidement connaître l’existence de pages qui se trouvent peu accessibles.

En d’autres termes, le fichier sitemap.xml permet de maintenir les moteurs de recherche à jour sur toutes les pages de votre site.

Pour cela, vous devez créer votre plan de site, ce qui se fait généralement via un plugin ou un outil en ligne, puis de le soumettre à Google via Google Search Console.

De notre côté, nous utilisons le plugin Yoast pour WordPress. Il en existe d’autres, mais nous le gardons car nous trouvons que celui-ci fait plutôt bien son travail.

Le fichier .htaccess

Le fichier .htaccess est un peu plus complexe que les deux précédents car il permet aux administrateurs du site d’écrire des règles au serveur sur lequel le site est hébergé.

L’une de ses utilisations les plus courantes en SEO technique est la gestion des redirections comme nous l’avons vu précédemment.

Il permet, par exemple de toujours rendre accessible votre site internet sur une seule et unique URL.

Par exemple :

http://growthfrance.com → https://growthfrance.com

http://www.growthfrance.com → https://growthfrance.com

https://www.growthfrance.com → https://growthfrance.com

Une méthode efficace pour organiser et présenter vos données aux moteurs de recherche est d’utiliser schema.org.

Mais qu’est-ce que c’est précisément et comment l’implémenter ?

Schema.org est un vocabulaire collaboratif, créé par Google, Microsoft, Yahoo et Yandex, que vous pouvez utiliser pour marquer vos données afin qu’elles soient facilement comprises par les moteurs de recherche.

Ce type de formatage aide les moteurs de recherche à comprendre le contenu de votre site et à afficher des résultats de recherche plus riches, appelés “rich snippets”, qui peuvent améliorer le clic et le trafic vers votre site.

Il existe trois formats principaux que vous pouvez utiliser pour intégrer des données schema.org à votre site :

• RDFa
• Microdata
• JSON-LD

Le plus recommandé par Google est le format JSON-LD.

Voici un exemple de code JSON-LD pour une recette :

“`javascript
<script type=”application/ld+json”>
{
“@context”: “https://schema.org/”,
“@type”: “Recipe”,
“name”: “Pain doré grillé”,
“author”: {
“@type”: “Person”,
“name”: “Jean Dupont”
},
“datePublished”: “2020-02-05”,
“description”: “Cette recette de pain doré grillé est un vrai délice pour le petit-déjeuner.”,
“prepTime”: “PT20M”,
“totalTime”: “PT30M”,
“image”: “https://example.org/images/toast.jpg”,
“recipeIngredient”: [
“pain tranché”,
“beurre”,
“oeufs”,
“cannelle”
],
“recipeInstructions”: [
{
“@type”: “HowToStep”,
“text”: “Préparer les ingrédients.”
},
{…}
],
}
</script>
“`

Dans cet exemple, `@context` définit fondamentalement le vocabulaire de données utilisé (dans ce cas, schema.org) et `@type` définit l’objet que vous décrivez (une recette).

Les propriétés comme `name`, `author`, `datePublished`, etc., sont utilisées pour fournir plus de détails sur l’objet.

Une fois que vous avez marqué votre contenu avec les données schema.org, vous pouvez tester votre “markup” avec l’outil de test de données structurées de Google pour vous assurer qu’il est correctement formaté et peut être lu par les moteurs de recherche.

L’implémentation d’une structure de données de type schema.org sur votre site peut sembler un peu technique au début, mais elle est essentielle pour aider les moteurs de recherche à comprendre le contenu de votre site et peut améliorer considérablement votre visibilité dans les résultats de recherche!

Pour en apprendre plus, RDV sur https://schema.org.

Lorsque vous vous connectez sur internet pour faire des achats, des transactions bancaires ou simplement consulter vos e-mails, vous voulez être sûr que vos informations sont sécurisées. Le protocole HTTPS est là pour cela.

HTTPS signifie “Hyper Text Transfer Protocol Secure”. C’est le protocole standard pour la transmission sécurisée de documents sur Internet.

Par rapport à son prédécesseur HTTP, le HTTPS chiffre les données envoyées et reçues, protégeant ainsi l’information contre les écoutes indiscrètes ou les manipulations malveillantes.

Protection des données : le principal avantage du HTTPS est qu’il sécurise les données envoyées entre le navigateur et le site web, garantissant le fait que personne ne peut intercepter ou modifier les informations.

Confiance des utilisateurs : les utilisateurs sont de plus en plus conscients et au fait de la sécurité en ligne. Lorsque ces derniers voient que votre site est sécurisé par HTTPS, ils se sentiront plus en confiance pour entrer leurs informations personnelles. C’est également le cas pour vous, n’est-ce pas?

Amélioration du classement SEO : Google a fait du HTTPS un facteur de classement. Cela signifie que l’utilisation du HTTPS peut aider votre site à apparaître plus haut dans les résultats de recherche, même si aujourd’hui, c’est devenu la norme (et heureusement!).

Comment obtenir un certificat SSL ?

Le premier pas pour passer à HTTPS est d’obtenir un certificat SSL (Secure Sockets Layer).

Ce certificat sert à crypter les informations envoyées entre le serveur et le navigateur. De nombreux hébergeurs offrent des certificats SSL, mais vous pouvez également en obtenir un gratuitement auprès de services tels que Let’s Encrypt.

Installer et activer le certificat SSL : une fois que vous avez obtenu un certificat SSL, vous devez l’installer sur votre serveur. C’est généralement un processus que votre fournisseur d’hébergement peut vous aider à réaliser.

Mise à jour de votre site pour utiliser le HTTPS : Après avoir installé et activé le certificat SSL, vous devez mettre à jour votre site pour utiliser le HTTPS au lieu de HTTP, qui est utilisé par défaut.

Cela peut impliquer la mise à jour des liens internes, le changement des paramètres du serveur et la mise en place de redirections.

Mise à jour de Google Search Console : n’oubliez pas de mettre à jour votre profil Google Search Console pour utiliser l’URL HTTPS de votre site. Cela permet à Google de savoir que votre site est désormais sécurisé et de continuer à l’indexer correctement.

Le passage du site en HTTPS est une étape essentielle pour garantir la sécurité de votre site et de vos utilisateurs. Il apporte d’ailleurs une confiance supplémentaire à vos visiteurs et peut même donner un coup de pouce à votre classement dans les résultats de recherche (du moins, si vos concurrents sont restés en HTTP).

Sur internet, plus de 2/3 des recherches sont faites sur smartphone.

En effet, avec la montée en puissance des smartphones, de plus en plus de personnes accèdent à Internet via leurs appareils mobiles. Pour les propriétaires de sites web, cela signifie qu’il est crucial d’optimiser leur site pour une utilisation mobile.

L’importance de l’optimisation mobile réside dans trois domaines principaux : l’expérience utilisateur (UX), le référencement naturel (SEO) et la conversion (CRO).

Les utilisateurs mobiles s’attendent à une expérience aussi bonne, sinon meilleure, que celle qu’ils ont sur un ordinateur de bureau.

Si votre site n’est pas optimisé pour les mobiles, ils sont susceptibles de quitter votre site, ce qui peut nuire à votre taux de rebond et à vos conversions.

De plus, Google s’intéresse tout autant à la version mobile de votre site pour l’indexation et le classement qu’à la version PC.

Pour ainsi dire, si votre site n’est pas optimisé pour les mobiles, il sera mal classé dans les résultats de recherche de Google.

Que faut-il faire pour que votre site soit “mobile friendly” ?

Design Réactif : un design réactif est un design qui s’adapte automatiquement à la taille de l’écran de l’utilisateur. C’est la méthode la plus populaire pour rendre un site mobile-friendly car elle garantit une expérience utilisateur cohérente sur tous les appareils.

Vitesse de chargement : les utilisateurs mobiles sont souvent en déplacement, ils s’attendent donc à ce que les sites se chargent rapidement. Utilisez des outils comme Google PageSpeed Insights pour voir comment vous pouvez améliorer la vitesse de chargement de votre site sur les appareils mobiles (déjà cité plus haut).

Facilité de navigation : Les écrans mobiles sont beaucoup plus petits que les écrans d’ordinateur, ce qui peut rendre la navigation sur un site web difficile. Il est donc important de simplifier votre navigation sur mobile, en utilisant par exemple un menu hamburger.

Taille du texte et des boutons : assurez-vous que le texte de votre site est assez grand pour être lu sans zoomer et que les boutons sont assez grands pour être utilisés sur un écran tactile.

Optimisation des images : les images peuvent prendre beaucoup de temps à charger, surtout sur les connexions mobiles lentes.Assurez-vous de compresser vos images pour qu’elles se chargent plus rapidement, sans sacrifier leur qualité.

Par ailleurs, Google propose un outil utile appelé Mobile-Friendly Test, qui permet de vérifier si votre site est bien optimisé pour les appareils mobiles.

L’optimisation de votre site pour les appareils mobiles est absolument nécessaire pour réussir son référencement.

Selon votre activité, votre site a le potentiel de toucher des utilisateurs de tous horizons linguistiques.

Avoir un site qui s’adresse à plusieurs régions linguistiques peut améliorer votre audience globale, stimuler votre SEO et augmenter vos chances de conversion.

Cependant, si géré incorrectement, il peut conduire à du contenu en double ou à une mauvaise affectation de la langue à l’utilisateur, ce qui peut nuire à votre SEO et à l’expérience utilisateur.

Le Marquage hreflang : le marquage hreflang est un signal que vous pouvez donner à Google pour lui indiquer dans quelle langue vous présentez votre contenu.

Cela aidera Google à servir la version correcte de votre site à l’utilisateur en fonction de sa situation géographique et de la langue de son navigateur.

Gestion du contenu et des liens : assurez-vous de traduire tous les éléments de votre site, pas seulement le texte du corps. Cela inclut la navigation, les images (et leurs attributs alt), les méta-tags et les URL.

De plus, assurez-vous que chaque version linguistique de votre site a des liens vers les autres versions.

Localisation : la localisation va au-delà de la traduction ; elle prend en compte les particularités culturelles de chaque région linguistique. Réfléchissez aux devises, aux unités de mesure, aux mises en page et à la sensibilité culturelle lorsque vous localisez votre site.

En somme, gérer efficacement un site web multilingue peut être un défi, mais avec une stratégie solide et une mise en œuvre réfléchie, cela peut ouvrir votre entreprise à un public mondial. Alors n’hésitez pas à faire le saut linguistique ou à vous faire accompagner par une société!

Cet article touche à sa fin. Cela fait beaucoup d’informations, mais nous sommes allés à l’essentiel, sans dénaturer la technicité ou le travail qui est à réaliser.

Si vous vous sentez d’attaquer ces sujets de front, nous vous recommandons de poursuivre votre lecture en entrant plus en profondeur sur le Google Search Central.

Cela dit, si vous souhaitez faire sous-traiter la gestion et l’optimisation de votre site internet, au niveau SXO (c’est à dire SEO + UX + CRO), n’hésitez pas à vous rendre sur la page présentant notre offre de service.

Souhaitez-vous poursuivre votre lecture sur le SEO avec notre guide complet du On-Page SEO ?